Si vos images sont destinées au web, c’est vraiment une petite application à avoir sur son Mac (même si vous avez Photoshop : le temps de chargement n’est pas tout à fait le même et la simplicité d’utilisation non plus…).
Avec ImageOptim, il vous suffit de faire glisser une ou plusieurs images dans le panneau principal ou sur son icône, et le tour est joué. Vous pouvez relancer l’opération, jusqu’à ce que le pourcentage d’optimisation soit de 0%. Vous pouvez même ajouter un dossier d’images entier : j’ai testé jusqu’à 300 Mo et ça passe sans problème. On doit pouvoir aller bien au delà, si la ventilation n’est pas en panne…Vraiment très pratique.
Pour info, ImageOptim propose également un script “Snow Leopard Service” pour qu’il soit ajouté aux menus contextuels. Personnellement, je n’en vois pas bien l’utilité, compte tenu des deux options citées plus haut (et de Spotlight pour l’appeler…) : un script ne me semble utile que s’il vous simplifie la vie, sinon, c’est prendre le risque inutile d’ajouter une source de misère, mais c’est à vous de voir !
Remarque importante : ImageOptim remplace les images d’origine, il ne crée pas de dossier distinct. Si vous voulez conserver vos originaux, travaillez donc avec des copies.
Notez quand même qu’ImageOptim ne dispense pas de redimensionner vos images dans votre logiciel préféré et, à l’enregistrement, de choisir le taux de compression qui correspond au rendu qui vous paraît suffisant. Inutile de choisir “qualité maximale” si vous ne voyez aucune différence en vous rapprochant même beaucoup de “qualité minimale”. Cela varie beaucoup d’une image à l’autre.
Au niveau des Préférences, les réglages par défaut conviendront à la plupart, mais il n’est pas forcément inutile d’aller y faire un tour pour voir les options disponibles et, éventuellement, effectuer quelques modifications en fonction de vos besoins.
Pour parler un peu “technique”, ImageOptim est une interface visuelle incluant divers outils d’optimisation éprouvés : AdvPNG, AdvanceCOMP, OptiPNG, PngCrush, JpegOptim (libjpeg), Gifsicle.
PNGout est en option car sa licence ne permet pas de le “packager”. Vous pouvez le télécharger, l’installer (voir plus bas) et indiquer son chemin dans les Préférences d’ImageOptim. PNGout peut encore réduire le poids des images “optimisées pour le web” dans Photoshop, mais il permet aussi de réduire celui d’applications pour Mac et iPhone.
Quelques remarques à propos de PNGout :
En conclusion, si vos images occupent inutilement de l’espace disque, consomment trop de bande passante et ralentissent votre site web, ImageOptim vous sera d’une aide précieuse. Je vous le recommande vivement (avec un bémol pour l’ajout de PNGout, comme vous l’aurez compris…).
Configuration requise : Mac OS 10.5.8 ou supérieur.
Si vous n’arrivez pas à ouvrir l’archive .tar.bz2, tar.gz, etc., allez d’urgence vous équiper de The Unarchiver, à qui rien ne résiste ou presque.
Wraparound est un petit utilitaire pour Mac, qui pourra intéresser notamment les graphistes, webdesigners et autres forçats du design.
Il peut vous faire gagner du temps et vous éviter une tendinite au poignet, si vous faites de fréquents allers et retours d’un bord à l’autre de votre mega-moniteur et, plus encore peut être, si vous travaillez sur 2 moniteurs (avec une seule souris…).
- Dans le premier cas vous pouvez configurer Wraparound pour que votre pointeur “rebondisse” sur le bord opposé quand vous l’avez atteint.
- Dans le second, il pourra rendre les bords de vos écrans “perméables” au pointeur, lui permettant ainsi de passer d’un écran à l’autre. Cette “perméabilité” ne se limite d’ailleurs pas au pointeur : vous pouvez également faire passer des fenêtres et autres objets d’un écran à l’autre.
Il vous faudra faire quelques essais dans les Préférences pour trouver le comportement qui vous convient, mais le panneau est bien conçu et vous permet notamment de :
Bref ! il y a tout ce qu’il faut pour que Wraparound vous soit le plus utile possible et adapté à la configuration de votre système et vos habitudes de travail.
Configuration requise : Mac OS 10.5 ou supérieur
Licence : Freeware (non open-source)
A ce jour, il n’est pas traduit en français mais son utilisation est simplissime et intuitive : au lancement, vous sélectionnez un volume (Macintosh HD ou un autre, si vous avez partitionné votre disque ou avez un volume externe connecté) et cliquez sur “Open Volume”. Vous pouvez aussi sélectionner un dossier à inspecter : “Select Folder”.
Une fois l’examen du disque terminé, ce qui peut prendre…”un certain temps”, vous obtenez une arborescence du contenu de votre disque, y compris les fichiers cachés (précédés d’un point). Un clic sur la représentation graphique dans la partie droite de la fenêtre, vous amène au dossier ou fichier correspondant.
Vous avez la possibilité d’afficher le contenu d’un paquet (comme c’est le cas dans le Finder par clic Droit ou Ctrl+Clic), de zoomer à l’intérieur d’un dossier, etc.
Il est également possible d’effacer depuis Disk Inventory X mais, évidemment, soyez très prudents, d’autant qu’encore une fois les fichiers cachés sont affichés. Certains peuvent être effacés sans risque, d’autres franchement pas ! En cas de doute…
Pour conclure, Disk Inventory X n’est pas une révolution mais il peut être utile pour avoir une vision globale de l’occupation de son disque sans avoir à se promener dans le Finder et, le cas échéant, faire un peu de ménage.
Cela dit, vider sa Corbeille, faire le tri dans son dossier Téléchargements, ses vidéos, etc., utiliser Monolingual, sont les premiers réflexes à avoir pour faire de la place, quelquefois beaucoup de place…
Configuration requise : Mac OS 10.3 ou supérieur
Son objectif est de simplifier la résolution de problèmes.
Avec EureKalc, vous n’avez plus à :
La version 3, complètement refondue, inclut entre autres l’affichage des équations sous forme algébrique courante, le calcul sur des grandeurs physiques munies dʼunités et des outils de calcul symbolique (pour la transformation dʼéquations et le calcul de dérivations).
EureKalc est donc une application très avancée, qui peut avantageusement remplacer la combinaison de plusieurs outils. Il devrait grandement simplifier la tâche, non seulement des professeurs, mais de toute personne ayant à résoudre ce type de problèmes.
Note : n’oubliez pas que NeoOffice inclut une application “Formule” bien pratique, même si elle n’est pas comparable à EureKalc.
Configuration requise : Mac OS 10.3 (testé et développé sous 10.6.6)
Celestia est un magnifique logiciel libre et gratuit de visualisation spatiale en 3D, qui vous offre cette expérience exceptionnelle !
Celestia est un simulateur spatial en temps réel, qui vous permet de vous rendre à tout endroit du système solaire et bien au délà, à bord de votre propre vaisseau spatial, à la vitesse et selon les itinéraires que vous choisissez. Vous pouvez même quitter notre galaxie ! Une expérience extraordinaire !
Ne vous y trompez pas : ce n’est pas un petit logiciel gadget, que Chris Laurel et ceux qui l’ont rejoint ont développé. C’est un logiciel de très grande qualité, procurant une qualité d’image et un réalisme exceptionnels.
Même si vous n’êtes pas (encore) passionné d’astronomie, je vous conseille vivement d’essayer ce logiciel exceptionnel qu’est Celestia !
Pour un avant-goût plus précis, vous pouvez commencer par aller voir cette video, que je vous ai mise sur Youtube, sachant que si votre matériel le permet, ce sera beaucoup mieux avec Celestia installé sur votre Mac ! Sans compter que vous serez aux commandes, bien sûr…
Configuration requise : Mac OS X 10.3 ou supérieur, strict minimum 512 Mo de RAM. Bien évidemment, plus votre système et votre Mac sont récents, meilleure sera votre expérience : Celestia est forcément gourmand en ressources graphiques 3D et utilise OpenGL, qui a connu des améliorations notables ces dernières années.
A noter : si et seulement si vous rencontrez des problèmes de gel de l’application (c’est généralement parce que votre configuration matérielle et/ou logicielle est un peu “limite”), décochez “Ombres des anneaux” dans le menu Celestia > Préférences (elle est décochée par défaut) et, pour ceux qui n’ont pas peur de mettre un peu les mains dans le cambouis, éditez le fichier celestia.cfg : supprimez le # devant la ligne IgnoreGLExtensions [ "GL_ARB_vertex_program" ], qui se trouve près de la fin du fichier. Pour accéder à ce fichier, allez dans Applications > clic Droit ou Ctrl+Clic sur Celestia > Afficher le contenu du paquet > Contents > Resources > CelestiaResources. Si vous n’avez pas d’éditeur de texte installé (voir Fraise ou Smultron), vous pouvez utiliser Textedit (pas Word !).
AppleJack est un utilitaire de dépannage pour Mac OS X, qui fonctionne en mode “Single User”, c’est à dire sans chargement de l’interface graphique. Vous ne devez l’utiliser que de cette manière, jamais le lancer depuis le Terminal, au risque de tout casser…
Vous n’avez pas l’habitude de voir une console noire avec des lignes qui défilent à toute allure ? Vous pensez que c’est réservé aux “geeks” ? Ca peut, mais pas de panique : AppleJack est très simple à utiliser.
Tout d’abord, même si vous vous en doutez un peu, AppleJack ne résoudra pas tous les problèmes, notamment s’ils sont matériels –disque dur, mémoire vive, carte graphique, carte-mère, bref tout ce qui est dur (hardware).
Il ne réparera pas non plus un système tellement corrompu (abimé) que seule une ré-installation peut résoudre le problème, mais il peut en résoudre un bon nombre, qui sont susceptibles d’empêcher votre Mac de se lancer, à savoir :
Vous avez là, dans l’ordre, les 5 opérations qu’AppleJack vous propose sous forme de menu quand vous le lancez. Notez que si vous lancez ces tâches une par une, il faut les effectuer dans l’ordre indiqué.
Comment accéder à AppleJack et démarrer les opérations ?
Facile : immédiatement après le “chime” de démarrage (c’est le vrai nom du “bong” ou “dong” typique du Mac), appuyez sur et laissez les touches Cmd (ou Pomme) et la lettre “s” enfoncées. Cmd+S permet de démarrer en mode “Single User”, sous lequel fonctionne AppleJack.
Attendez que le défilement de lignes soit termniné, que la console affiche “root$” et tapez “applejack”, sachant que vous êtes en mode clavier qwerty…. C’est donc au clavier français “azerty”, “qpplejqck” qu’il faut taper…
Ensuite vous n’avez plus qu’à, soit :
- choisir le numéro du test que vous voulez effectuer (encore une fois dans l’ordre, en commençant par 1.)
- tous les effectuer en tapant la lettre “a” comme “auto pilot”, donc la lettre “q” sur un clavier azerty.
- quitter en appuyant sur la lettre “a” comme…”quitter”. Sérieusement, on est toujours en mode clavier “qwerty” (je sais que vous savez…).
Quand AppleJack a terminé son travail, il vous propose de redémarrer ou d’arrêter votre Mac. On choisit en général de redémarrer, tellement on est pressé de voir si le miracle s’est produit.
Mais ça n’est pas un miracle : AppleJack est une application très efficace dans un grand nombre de situations et peut vous épargner des heures de recherches et/ou l’appel à un dépanneur. La version compatible Snow Leopard a été longue à venir et les pauvres développeurs (qui ne remplissent pas leur frigidaire avec AppleJack) ont été littéralement harcelés par les nombreux utilisateurs convaincus.
Oui.
Si une rotule de direction de votre voiture est sur le point de lâcher, il peut être dangereux de tourner le volant et encore plus de braquer un peu violemment…De la même manière, AppleJack va solliciter votre système, comme le ferait l’Utilitaire de disque de Mac OS X et, dans une moindre mesure, tout lancement d’application. Si un élément matériel est près de lâcher, c’est juste une question de temps…
Parade ? Il n’y en n’a pas 100 : sauvegardez, sauvegardez, sauvegardez !
Il existe des logiciels gratuits comme Carbon Copy Cloner ou SuperDuper (gratuit dans sa version de base et $27.95 dans sa version avancée –approx. 20 EUR, largement mérités !). Les sites sont en anglais, mais ces deux logiciels incluent une traduction française.
Une sauvegarde TimeMachine ? Oui. C’est moins bien, à mon humble avis, mais c’est beaucoup mieux que rien. TimeMachine peut très bien être utilisé en complément de l’un des deux programmes cités ci-dessus.
Il vous faut un disque externe pour vos sauvegardes !
Un disque dur qui lâche, quand on a une sauvegarde récente bootable (démarrable) de son système, c’est désagréable, mais ça n’est pas une catastrophe. Cela m’est arrivé pas plus tard qu’aujourd’hui (d’où l’idée de rédiger ce post plus tôt que prévu…) et en redémarrant sur mon disque externe Firewire avec une image SuperDuper, je reprenais mon travail 1 minute 1/2 plus tard…Le nouveau disque interne arrive demain…
Vous pouvez trouver des disques externes d’excellente qualité et à un prix très compétitif chez MacWay chez qui je me fournis depuis qu’ils existent ou presque et avec qui je travaille depuis quelques mois.
Bref ! achetez-le où bon vous semble, mais il vous faut un disque dur pour vos sauvegardes. C’est le meilleur conseil que je puisse vous donner ! (avec peut être 2 ou 3 autres…, à charge de revanche…).
En conclusion: AppleJack est un excellent utilitaire (vainqueur du MacWorld Eddy Award 2008, svp, et largement acclamé). Si vous tenez compte des mises en gardes et précautions ci-dessus, il peut vous être vraiment très utile.
Configuration requise : Mac OS 10.4 ou supérieur PPC ou Intel, Mac OS 10.6 Intel.
Ces notifications sont des petits messages qui s’affichent par défaut en haut à droite de votre écran pendant quelques secondes (ou le temps que vous définissez). “Par défaut”, parce que vous pouvez aussi choisir dans quel coin de votre écran vous voulez voir apparaître les notifications. Plus souple, dans cette catégorie, je ne connais pas !
Il est possible que Growl soit déjà installé sur votre système sans que vous le sachiez : quelques applications incluent Growl dans leur package d’installation, sans vous laisser le choix de l’installer ou non, ce à quoi les développeurs sont totalement opposés ; ils expliquent même comment le désinstaller et fournissent un désinstalleur. Bien, non ?
Mais je vous conseillerais plutôt de l’installer si ça n’est déjà fait, car Growl peut être vraiment utile et, encore une fois, aussi discret ou muet que vous le voulez.
Certains se plaignent de recevoir trop de notifications. Ils ne savent probablement pas que Growl est totalement paramétrable : vous pouvez le désactiver pour telle ou telle application et définir son comportement pour chacune (Préférences Système > Growl > onglet Applications).
Si vous ne voulez pas voir une fenêtre voler pendant que vous faites semblant de travailler (ou, plus sérieusement, pendant que vous faites un screencast, par exemple), vous pouvez le désactiver temporairement en un clic dans la barre des menus (option à cocher dans les préférences). Rien à voir avec les pop-ups de Windows, donc…
Cela varie bien sûr d’une application à l’autre (et toutes les applications ne supportent pas Growl) mais voici quelques exemples :
En résumé, Growl est un système de notification qui peut faire exactement ce que vous voulez quand vous le voulez. Mais certains détestent toute notification (traumatisme post-Windows ?). Vous trouverez donc un lien vers l’installeur et un autre vers le désinstalleur…
A noter que si vous utilisez une version de Dropbox < 1, il faut désactiver les notifications Growl dans ses préférences avant de lancer la désinstallation.
Configuration requise : Mac OS 10.5 ou supérieur
Désinstaller Growl
Bref ! c’est vraiment du très beau travail et vaut la peine d’être essayé et de trôner fièrement à côté de VLC et QuickTime, qu’il pourra remplacer avantageusement dans certaines circonstances.
A noter que le premier lancement du programme est plus long du fait de la constitution du cache des polices. Pas d’inquiétude, il ne le fait qu’une fois.
Conseil : téléchargez et installez également MPlayer Binary Codec Package pour la prise en charge des formats propriétaires WMV9, RealVideo 10, QuickTime et autres. Vous les trouverez sur le site de MPlayer.
Configuration requise : Mac OS X 10.5 pour la dernière version (version pour Tiger toujours dispo).
Télécharger MPlayer OSX Extended
Pour les non-initiés, la virtualisation permet d’exécuter un système d’exploitation à l’intérieur d’un autre, comme on lancerait n’importe quelle application. Vous pouvez par exemple faire tourner Windows XP, Vista ou 7 dans Mac OS X, sans avoir ni à partitionner votre disque (Boot Camp), ni redémarrer votre Mac.
Il existe des solutions propriétaires telles que VMware Fusion et Parallels, mais VirtualBox, logiciel libre et gratuit est devenu une alternative plus que sérieuse à ceux-ci, aussi bien pour les particuliers que pour les professionnels.
En conclusion : si vous optez pour la virtualisation, avant d’investir dans une solution propriétaire, essayez VirtualBox !
Configuration requise : Mac à processeur Intel (et de la RAM pour les VMs…)
Télécharger VirtualBox
Il s’ouvre depuis sa version 2.5 à l’ajout de plugins, les premiers intégrés permettant de publier sur Twitter, Facebook, Delicious et Evernote, notamment. Il est très probable que d’autres plugins intéressants voient le jour prochainement.
Un des objectifs principaux des développeurs est de fournir un lecteur RSS/Atom très simple d’utilisation, d’éviter absolument de devenir l’usine à gaz que sont certains logiciels de ce type.
Ils y sont parvenu, sans que cela se fasse au détriment des fonctionnalités principales que l’on attend d’un lecteur RSS.
En ce qui concerne le dernier point, la traduction française reste à peaufiner, mais cela ne gêne en rien l’utilisation (il peut être utile quand même de savoir que “delete” signifie “supprimer/effacer”).
Configuration requise : Mac OS 10.5 ou supérieur
Télécharger Vienna